Une défaite au goût amer

Un match de football féminin se termine par la défaite cuisante de l’équipe locale devant leur propre public. Les filles sont abattues dans le vestiaire. Le silence règne, elles ont toutes la tête baissée. Cette rencontre fut une catastrophe. Mais sans leur meilleure attaquante, il leur était impossible de remporter la victoire. Le président du club entre dans le vestiaire des perdantes. Il leurs demande comment est-ce arrivé, comment se fait-il que la victoire leur a échappé. Les grands yeux de la capitaine Juliette sont remplis d’eau. Les larmes coulent sur ses joues. Il leur propose d’aller voir Adrien, le masseur, pour se détendre. Ce dernier n’est pas gynécologue, mais il termine toujours sa séance avec sa loupe pour mater leur entre-jambe et pour savoir si tout fonctionne bien, si elles n’ont pas de bobos. En vérité, c’est le fils du président, et c’est aussi un véritable obsédé qui ne rêve que de les toucher, de glisser ses doigts dans leur fente. Ce qui lui plait le plus est de les filmer pendant qu’il les ausculte, pendant qu’elles atteignent leur orgasme. Il utilise des instruments qui sont en réalité des sextoys déguisés. Il est toujours accompagné de sa fidèle assistante Sonia, toujours vêtue de sa blouse blanche. Cette dernière, les lunettes sur le nez, manipule les sextoys mieux que personne et pour une première sodomie, elles y sont toutes passé. 

Pour remonter le moral, le docteur sait y faire 

Dans le club, on sait comment soigner les sportives. Rien de tel qu’un bon massage sensuel ! Mais aujourd’hui, pour la plupart des joueuses, retrouver son petit ami est plus proche du réconfort que le traitement de remise ne forme du club. Elles ressortent rapidement de la douche, s’habillent et repartent en passant devant le doc et son infirmière sans s’arrêter. D’habitude, après une belle victoire, il y a de l’ambiance dans les douches. Elles font souvent des petits jeux coquins et les perdantes doivent savonner les corps nus des gagnantes avec sensualité. 

Mais aujourd’hui, elles ont mieux à faire ailleurs. Juliette semble être la seule à vouloir rester avec eux. Elle espérait beaucoup de cette victoire, mais la blessure de sa meilleure amie est plus douloureuse encore, car elle ne rejoindra pas l’équipe avant plusieurs semaines. Elle est retournée en Angleterre dans sa famille pour sa convalescence. C’est avec elle, Linda, qu’elle partageait ses plus beaux moments du sport et de sexe. De nature très débridée, la britannique savait trouver les soirées les plus branchées à fréquenter et puis c’est elle qui lui a fait découvrir les plaisirs charnels à plusieurs. 

Lorsque le docteur Gyneco a posé son regard de pervers avec insistance, Juliette ne l’a pas repoussé. Bien au contraire, elle l’a encouragé à être de plus en plus entreprenant. Sous le regard du docteur, elle s’assoit sur la table de massage et à l’aide d’un des sextoys, a commencé à se caresser la chatte pour faire grimper sa chaleur intime. Elle appréhendait cet acte d’amour qu’elle n’aurait jamais osé pratiquer seule avec un homme. C’est aussi sans appréhension qu’elle demande à l’assistante en blouse blanche de venir la rejoindre. Elle lui enlève ses lunettes, et se met à l’embrasser pour la motiver. Les gros seins sont compressés dans la blouse, prêts à faire exploser les boutons de son décolleté.

Un plan à 3 sur une table de massage

Le corps enveloppé dans une serviette de bain trop petite, Juliette ressent déjà le désir, laisse tomber naturellement le tissu qui dissimulait ses petits tétons et son corps menu à ses pieds. Les yeux exorbités du docteur se posent sur elle. Il avance et l’invite à s’allonger sur la table de massage. À plat ventre, elle ferme les yeux, sent des mains masser ses épaules, caresser son dos, puis ses fesses avant de descendre sur ses jambes fermes et musclées. Ses mains deviennent peu à peu de moins en moins fermes, cela l’agace. Son attention est ailleurs et elle le sent. Se retournant, elle s’aperçoit que celui qui devait être aux petits soins avec elle se fait tripoter le sexe par son assistante. Son pénis qu’elle malaxe péniblement est déjà tout gluant. Il écarte les cuisses de la Juliette y glisse ses doigts puis sa langue, elle le laisse faire. L’assistante est collée à lui, ses mains entourent sa taille, elle ne lâche pas son sexe et s’agenouille sous la table de massage pour le sucer. 

Juliette prend son pied, sans qu’ils aient besoin d’utiliser tous ses petits objets de plaisir. Elle vient de jouir et regarde à présent le visage répugnant du docteur en train de gémir. Préférant ne pas le voir, elle se met à plat ventre, et dans un mouvement circulaire, se cambre, offrant une levrette sans le vouloir. D’un geste rapide, il retire son pénis de la bouche qui le dévorait et enfile le cul de Juliette qui se met à gémir au moment de la pénétration… Il bave, se retire brutalement et se met à éjaculer sur le dos de la sportive. Il cherche à la sodomiser, mais elle refuse, alors saisissant un plug anal surmonté d’un rubis, il le lui enfonce sèchement, lui arrachant ainsi un cri de plaisir sensuel. Il joue à présent avec l’objet de jouissance, le faisant entrer et sortir de manière rapide et répétée. Il s’en dégage un second orgasme pour la jolie Juliette pendant que l’assistante poursuit le massage en masturbant son clitoris langoureusement. Elle commence à haleter et il comprend qu’elle atteint enfin le nirvana. Alors sortant une télécommande d’on ne sait d’où, il déclenche une caméra. Il filme le troisième orgasme sans que la belle ne s’en rende compte. Le visage du docteur affiche un rictus qui démontre sa satisfaction, tandis que Juliette, le corps transpirant, ressent un émoi qui la détend complètement. Elle se laisse retomber sur la table. 

L’assistante du docteur sort la première de la pièce, elle est rejointe par lui. Juliette est seule dans le vestiaire une fois de plus. Nue sur la table, elle s'assoit, s’essuie délicatement, c’est alors que son petit ami frappe à la porte et entre. Il a regardé le match ce soir, la prend dans ses bras pour la réconforter. La serviette glisse à nouveau à ses pieds…