Une soirée mondaine qui dérape avec sa belle-soeur

Elle avait gardé de son dépucelage, le souvenir d’un moment exceptionnel. Un fantasme de la première sodomie qu’Alice redoutait avait été partagé avec Rebecca et son amant de l’époque, dans un petit hôtel de Marseille. Un homme très bien bâti qui la laisse encore rêveuse aujourd’hui. Elle se rappelle ses mains douces qui parcouraient tout son corps jusqu’à s’arrêter sur les zones les plus sensibles. Elle n’a jamais revécu une telle étreinte ; une partie sexuelle à trois n’est pas courante. 

Elle a depuis un peu changé, vit dans une autre ville, ses amis et collègues de travail n’ont pas l’esprit aussi débridé que l’avait sa meilleure amie et ses fréquentations libertines. D’ailleurs dans la grande ville qu’est Lyon, les mentalités sont différentes, les gens sont sérieux et toujours occupés. Bien qu’étant très heureuse en couple, il lui arrive de penser à sa première fois. Vivre un dépucelage et connaitre sa première pénétration anale entre deux amants homme et femme, est peu commun et Alice n’oubliera jamais Rebecca, sa copine de Lycée à Marseille. Chaque fois qu’elle y descend pour rendre visite à ses parents, en passant en taxi sur les grands boulevards, elle se revoit avec ses amies sur les terrasses de café où elles avaient l’habitude d’aller. Elle a un pincement au cœur et se remémore une très joyeuse époque. Tous ses moments vécus doivent être rayés définitivement de son monde, son petit ami étant issu d’une famille très réputée dans la politique lyonnaise. Chez eux, il n’y a que des personnalités importantes et influentes. Aussi, il n’est pas question de faire remonter à la surface toute cette nostalgie, ni même à se laisser aller à une escapade libertine quelle qu’elle soit. Il est inutile d’y penser un seul instant.

Une soirée mondaine très spéciale

À vingt heures, Alice se rend en compagnie de son riche héritier à un de ces dîners qui vous fait comprendre à quelle catégorie de gens vous appartenez quand vous rejoignez le clan, au cas où il vous viendrait l’idée d’oublier. Pour cette soirée somptueuse, ils n’ont pas fait dans la modestie. Un joli château entouré d’un magnifique parc décoré pour l’occasion reçoit ce soir quatre cents invités. Les voitures luxueuses commencent un défilé formant un ballet dans les allées et sur le parking. Ça n’en finit pas. Lorsque Alice et Philippe entrent au château, le dîner est sur le point d’être servi, on ne les attendait plus. Les deux jeunes amants se sont disputés et étaient sur le point de renoncer à venir. Philippe embrasse sa mère et file s’assoir aux côtés de sa sœur, laissant sa jolie compagne le suivre comme une non désirée. Colette, la sœur, se lève pour l’accueillir, elle a toujours apprécié Alice. Le dîner se déroule, les amants ne se parlent pas. Philippe reste avec sa mère, discute avec les convives, ne prête toujours pas attention à Alice qui est très désappointée. Il fait chaud et après avoir bu plusieurs coupes de champagne, la tête lui tourne. Elle décide d’aller se rafraichir à l’étage. C’est sans doute l’endroit où se rend aussi Colette, la sœur de Philippe qui la précède. Mais elle ne se rend pas aux toilettes, elle continue jusqu’à la pièce du fond. Alice n’y prête pas plus attention. Elle s’arrête à la salle de bain. S’étant allègrement remise de son étourdissement, elle ne redescend pas, mais se rend là où Colette allait. Elle veut entre-ouvrir discrètement la porte, mais elle est verrouillée. S’accroupissant rapidement, elle jette un coup d’œil par le trou de la serrure. Elle y voit le fessier nu d’un homme.  

Une belle-sœur pas si sainte-ni-touche

Elle retient son souffle pour ne pas faire le moindre bruit, tourne la tête de droite à gauche, il n’y personne à l’horizon. Alors elle décide de poursuivre et est ébahie. Elle peut à présent apercevoir la bouche de Colette en train de sucer le pénis du gars dont elle ne voit pas le visage. Elle tombe sur le cul, c’est sans doute le champagne qui lui fait avoir des hallucinations. Voulant être certaine de ce qu’elle vient de voir, elle se remet dans la position de la voyeuse, l’œil collé à la serrure. Mais la maladroite, trop embuée par l'alcool, n’a pas réalisé que sa chute a dérangé les amants. Alors qu’elle les cherche des yeux, la porte s’ouvre, la plaçant dans une situation embarrassante. Sa belle-sœur, le corsage ouvert, les bas déchirés et le rouge à lèvre débordant, lui demande ce qu’elle fait derrière cette porte. Mais à peine eut elle le temps de répondre, que sa main vient se placer entre ses cuisses, lui demandant si c’est ce qu’elle veut. Alice cherche à se débattre, mais elle est vite remise à sa place, lorsque Colette lui parle de Rebecca et de la photo libertine qu’elle a postée à sa meilleure amie. 

“Comment a-t-elle fait pour être au courant de l'existence de Rebecca ?”, se dit-elle.

Colette lui a tout simplement substitué sournoisement le message la semaine dernière alors qu’elle rendait visite à son frère. Cela n’a pas été compliqué. Le téléphone a sonné à côté d’elle, elle a transféré le message vers son propre portable et l’a effacé de celui d’Alice. Alice n’en revient pas d’une telle audace, Mais elle redescend vite de là où elle s’est placée. Les avances que lui fait Colette ne peuvent être refusées par Alice. Elle demande à son amant qui n’est autre que le chauffeur de s’occuper d’elle, mais Alice n’a pas vu qu’il n’était pas seul. Un serveur qu’elle n’avait pas remarqué est aussi présent. Alice comprenant ce qui l’attend ne joue plus les sainte-ni-touche. Elle se laisse faire. C’est au moment où elle se trouve dans la position la plus compromettante que la situation bascule. 

Un plan à 4 torride et filmé

Collée contre le mur à subir un cunnilingus, le corsage ouvert, la langue d’un des amants lui léchant la bouche, que Colette sort son téléphone et commence à filmer. Malgré les supplications d’Alice, elle poursuit, continue à filmer. Elle est au bord de la jouissance et c’est quand l’amant la pénètre enfin qu’elle se laisse aller à la jouissance. Elle soupire, gémit sous de plaisir. La séance n’est pas terminée, le deuxième amant très gourmand la retourne pour la prendre en levrette. Il la défonce par derrière et ne se contentant pas de son vagin, se met à la sodomiser. Elle se met à hurler puis prenant réellement plaisir à cet acte, elle se remet à gémir. Colette dans les bras de son chauffeur est interrompue, vient voir ce qui lui procure une si grande jouissance. Au regard que lui lance Alice, Colette comprend qu’elle est comme elle : elle est dans une position sensuelle, désirable et se fait démonter le cul par un larbin. Certes, elle ne l’a pas choisi, mais elle ne s’est pas fait prier pour arrêter.

Lui attrapant le menton pour lui relever la tête, Colette lui donne un baiser sur les lèvres. Souhaitant à Alice la bienvenue dans la famille, elle lui montre son portable avec la vidéo. Ses souvenirs Marseillais sont loin, elle est prise au piège. Son cœur lui dit qu’elle ne tardera pas à revoir Rebecca.